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Synthèse des résultats de l’enquête de satisfaction en 2016 à la bibliothèque d'Economie-gestion-urbanisme
L’ENQUETE
L’enquête de satisfaction utilisée par les bibliothèques de l’UPEC est l’enquête Libqual, acronyme de Library Quality. Standardisée et internationale, elle permet la comparaison nationale et internationale des bibliothèques. Les bibliothèques de l’UPEC mènent cette enquête régulièrement depuis 2009.
C’est une enquête qui évalue la qualité de service des bibliothèques à partir de la perception des usagers. Elle recense les écarts entre la qualité minimale de service acceptée par l’usager, la qualité souhaitée et la qualité perçue.
Elle porte sur trois dimensions : l’accueil assuré par la bibliothèque, la qualité des espaces, les ressources documentaires qui sont évaluées à travers 28 questions notées de 1 à 9.
C’est une enquête qui évalue la qualité de service des bibliothèques à partir de la perception des usagers. Elle recense les écarts entre la qualité minimale de service acceptée par l’usager, la qualité souhaitée et la qualité perçue.
Elle porte sur trois dimensions : l’accueil assuré par la bibliothèque, la qualité des espaces, les ressources documentaires qui sont évaluées à travers 28 questions notées de 1 à 9.
UN NOMBRE DE REPONSES REPRESENTATIF DU PUBLIC DE LA BIBLIOTHEQUE
Menée du 1er mars au 15 avril 2016, l’enquête a permis de toucher 15,60% du public de la bibliothèque d’économie-gestion-urbanisme, avec 657 réponses, accompagnées de 348 commentaires. Comme cela est le cas pour l’ensemble du SCD, l’enquête a touché majoritairement les premiers cycles qui représentent pour la bibliothèque d’économie-gestion-urbanisme 68,6% des répondants, contre 28% pour les étudiants en masters, 1,8% pour les doctorants et 1,5% pour les enseignants.
Le nombre global de répondants en 2016 est en hausse de 32,6% par rapport à 2012, et de 58,4% par rapport à 2009. Les actions de mobilisation des publics par le personnel, tant dans l’enceinte de la bibliothèque que lors d’animations ponctuelles dans les halls des bâtiments (IAE, FSEG) ont permis de toucher plus largement les publics desservis par la bibliothèque, et de promouvoir très largement l’enquête menée.
Le public traditionnel de la bibliothèque est constitué majoritairement d’étudiants de la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion, d’étudiants de la Faculté Administration et Échanges Internationaux (AEI) dont les cours ont lieu au Campus Centre et d’étudiants en Urbanisme, dont les cours ont lieu depuis 2013 sur le Campus Descartes à Marne-La-Vallée.
Depuis 2011, le campus du Mail des Mèches accueille la Maison des langues et des relations internationales. De ce fait, des étudiants en langues fréquentent de plus en plus régulièrement la bibliothèque. Ainsi en 2016, 133 étudiants en langues (127 de niveau Licence, 6 de niveau Master) ont répondu à l’enquête en citant la bibliothèque d’économie-gestion-urbanisme comme celle qu’ils fréquentaient habituellement. Leurs réponses ont donc été intégrées dans l’analyse qui suit.
Le nombre global de répondants en 2016 est en hausse de 32,6% par rapport à 2012, et de 58,4% par rapport à 2009. Les actions de mobilisation des publics par le personnel, tant dans l’enceinte de la bibliothèque que lors d’animations ponctuelles dans les halls des bâtiments (IAE, FSEG) ont permis de toucher plus largement les publics desservis par la bibliothèque, et de promouvoir très largement l’enquête menée.
Le public traditionnel de la bibliothèque est constitué majoritairement d’étudiants de la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion, d’étudiants de la Faculté Administration et Échanges Internationaux (AEI) dont les cours ont lieu au Campus Centre et d’étudiants en Urbanisme, dont les cours ont lieu depuis 2013 sur le Campus Descartes à Marne-La-Vallée.
Depuis 2011, le campus du Mail des Mèches accueille la Maison des langues et des relations internationales. De ce fait, des étudiants en langues fréquentent de plus en plus régulièrement la bibliothèque. Ainsi en 2016, 133 étudiants en langues (127 de niveau Licence, 6 de niveau Master) ont répondu à l’enquête en citant la bibliothèque d’économie-gestion-urbanisme comme celle qu’ils fréquentaient habituellement. Leurs réponses ont donc été intégrées dans l’analyse qui suit.
UNE TRES NETTE PROGRESSION DE LA PERCEPTION DE LA QUALITE DES SERVICES
Une progression constante et significative est à noter sur les 3 grandes thématiques couvertes par l’enquête entre 2009, 2012 et 2016. Cette progression porte principalement sur les niveaux perçu et désiré, le niveau minimum enregistrant les variations (en baisse globalement) les moins fortes. La perception de la thématique de l’accueil et des services (la rubrique « Personnel ») a ainsi progressé de près d’un point depuis 2009 en passant de 6,16 sur 9 à 7,15 sur 9. Viennent ensuite la perception des locaux qui a progressé de 0,84 point et enfin, celle des ressources qui a pour sa part progressé de 0,6 points.
De façon globale, les écarts entre les niveaux perçu et désiré (c’est-à-dire la marge de progression) sont en réduction de 2009 à 2016 sur les 3 thématiques. Au contraire, les écarts entre les niveaux minimum et perçu ont augmenté de manière très significative, confirmant que le niveau de l’offre fournie par la bibliothèque se rapproche des attentes de ses usagers. Cette très nette amélioration est à mettre en relation avec les plans d’actions menés suite aux deux enquêtes précédentes mais également au taux de réponses qui a permis pour la première fois d’atteindre un niveau de représentativité important.
De façon globale, les écarts entre les niveaux perçu et désiré (c’est-à-dire la marge de progression) sont en réduction de 2009 à 2016 sur les 3 thématiques. Au contraire, les écarts entre les niveaux minimum et perçu ont augmenté de manière très significative, confirmant que le niveau de l’offre fournie par la bibliothèque se rapproche des attentes de ses usagers. Cette très nette amélioration est à mettre en relation avec les plans d’actions menés suite aux deux enquêtes précédentes mais également au taux de réponses qui a permis pour la première fois d’atteindre un niveau de représentativité important.
EVALUATION DETAILLEE
Les radars illustrent pour chaque question posée aux usagers l’écart entre le désiré, le minimum attendu et le perçu :
• le bleu matérialise les aspects perçus comme au-delà du minimum attendu
• le jaune matérialise l’écart entre le perçu et le désiré
• le rouge matérialise les aspects perçus comme inférieurs au minimum attendu
Sur le radar de la bibliothèque d’économie-gestion-urbanisme pour l’enquête 2016, les écarts les plus élevés constatés entre le niveau perçu et le niveau désiré portent, comme cela est le cas pour le SCD en général, sur les locaux, l’environnement calme, l’équipement, l’info 24h/24, les ressources électroniques et les personnels face aux problèmes des services. Et, comme pour le SCD là aussi, ce sont les items concernant le personnel qui sont les mieux notés et pour lesquels la marge de progression est la moins élevée. Aucune zone rouge, c’est-à-dire représentant un service perçu inférieur aux attentes minimales, n’apparaît sur le radar de 2016.
LES POINTS POSITIFS
Comme pour l’ensemble du SCD, la grande majorité des points positifs se situe dans le domaine de l’accueil.
• Personnel met en confiance
• Disponibilité du personnel
• Compétence du personnel
• Personnel attentif
• Personnel enclin à aider
• Outils de repérage (« les outils de repérage me permettent de trouver facilement par moi-même ce que je cherche »)
Le repérage des collections via le catalogue fait également partie des points les mieux notés par le public de la bibliothèque dans cette enquête.
LES POINTS SENSIBLES
Les points qui peuvent être évalués comme sensibles sont ceux où les écarts entre le niveau minimum et le niveau perçu (c’est-à-dire la marge de progression) sont les plus élevés (entre 0,9 et 1,5 points d’écart) :
Des espace de plus en plus calmes
Perçu en 2009 et en 2012 comme inférieur au minimum attendu, le calme dans les espaces de lecture a été jugé en 2016 plus satisfaisant suite aux actions menées dans la bibliothèque. Toutefois, l’écart entre le niveau perçu et le niveau souhaité est le plus élevé (1,38) et une analyse plus fine par niveau et par discipline révèle même des attentes plus fortes, en particulier par les étudiants en AEI ou en Urbanisme.
Cette question concerne à des degrés divers plusieurs bibliothèques du SCD. La bibliothèque d’économie-gestion-urbanisme s’inscrira donc dans la dynamique de réflexion globale pour faire évoluer positivement cette situation par de nouvelles actions locales.
Il est à noter que si les attentes sont fortes, la perception du calme dans les espaces de travail a très nettement progressé depuis 2009. La situation à la bibliothèque d’économie gestion est l’une des meilleurs aux yeux de son public. Cette évaluation est due aux plans d’actions précédents qui ont permis de faire des travaux d’insonorisation des locaux, de mettre en place des salles silence, de créer plusieurs salles de travail en groupe et d’accroitre la présence de personnels dans les salles. D’autre part, le public d’économie gestion travaille de façon spontanée en groupe et manifeste, notamment à travers l’enquête de satisfaction, des exigences beaucoup moins fortes en matière de silence que les étudiants de médecine ou en sciences juridiques.
Service personnalisé trop souvent méconnu
La précédente enquête avait déjà révélé des attentes fortes sur le service personnalisé, mais les réponses apportées (mise en place du rendez-vous bibliographique et des journées dédiées à la rédaction du mémoire) semblent insuffisantes ou insuffisamment connues. L’item « les usagers bénéficient d’un service personnalisé » obtient un niveau de satisfaction peu important de la part des usagers. Or, les usagers l’ayant utilisé manifestent pour leur part un fort niveau de satisfaction. Répondant aux besoins des étudiants, ce service semble donc encore trop peu connu.
Personnels face aux problèmes de service
La question « le personnel apporte des solutions fiables aux problèmes de services rencontrés par les usagers » couvre entre autre les pannes observées sur les services informatiques, d’impressions, de connexion wifi,… pour lesquels le personnel de la bibliothèque peut rarement apporter une solution immédiate et doit solliciter le plus souvent l’intervention, en différé, d’autres services de l’université ou de prestataires extérieurs ; ceci explique sans doute l’écart plus élevé observé sur cette question.
• le bleu matérialise les aspects perçus comme au-delà du minimum attendu
• le jaune matérialise l’écart entre le perçu et le désiré
• le rouge matérialise les aspects perçus comme inférieurs au minimum attendu
Sur le radar de la bibliothèque d’économie-gestion-urbanisme pour l’enquête 2016, les écarts les plus élevés constatés entre le niveau perçu et le niveau désiré portent, comme cela est le cas pour le SCD en général, sur les locaux, l’environnement calme, l’équipement, l’info 24h/24, les ressources électroniques et les personnels face aux problèmes des services. Et, comme pour le SCD là aussi, ce sont les items concernant le personnel qui sont les mieux notés et pour lesquels la marge de progression est la moins élevée. Aucune zone rouge, c’est-à-dire représentant un service perçu inférieur aux attentes minimales, n’apparaît sur le radar de 2016.
Radar Libqual 2016 – Bibliothèque d’économie-gestion-urbanisme
LES POINTS POSITIFS
Comme pour l’ensemble du SCD, la grande majorité des points positifs se situe dans le domaine de l’accueil.
• Personnel met en confiance
• Disponibilité du personnel
• Compétence du personnel
• Personnel attentif
• Personnel enclin à aider
• Outils de repérage (« les outils de repérage me permettent de trouver facilement par moi-même ce que je cherche »)
Le repérage des collections via le catalogue fait également partie des points les mieux notés par le public de la bibliothèque dans cette enquête.
LES POINTS SENSIBLES
Les points qui peuvent être évalués comme sensibles sont ceux où les écarts entre le niveau minimum et le niveau perçu (c’est-à-dire la marge de progression) sont les plus élevés (entre 0,9 et 1,5 points d’écart) :
Des espace de plus en plus calmes
Perçu en 2009 et en 2012 comme inférieur au minimum attendu, le calme dans les espaces de lecture a été jugé en 2016 plus satisfaisant suite aux actions menées dans la bibliothèque. Toutefois, l’écart entre le niveau perçu et le niveau souhaité est le plus élevé (1,38) et une analyse plus fine par niveau et par discipline révèle même des attentes plus fortes, en particulier par les étudiants en AEI ou en Urbanisme.
Cette question concerne à des degrés divers plusieurs bibliothèques du SCD. La bibliothèque d’économie-gestion-urbanisme s’inscrira donc dans la dynamique de réflexion globale pour faire évoluer positivement cette situation par de nouvelles actions locales.
Il est à noter que si les attentes sont fortes, la perception du calme dans les espaces de travail a très nettement progressé depuis 2009. La situation à la bibliothèque d’économie gestion est l’une des meilleurs aux yeux de son public. Cette évaluation est due aux plans d’actions précédents qui ont permis de faire des travaux d’insonorisation des locaux, de mettre en place des salles silence, de créer plusieurs salles de travail en groupe et d’accroitre la présence de personnels dans les salles. D’autre part, le public d’économie gestion travaille de façon spontanée en groupe et manifeste, notamment à travers l’enquête de satisfaction, des exigences beaucoup moins fortes en matière de silence que les étudiants de médecine ou en sciences juridiques.
Service personnalisé trop souvent méconnu
La précédente enquête avait déjà révélé des attentes fortes sur le service personnalisé, mais les réponses apportées (mise en place du rendez-vous bibliographique et des journées dédiées à la rédaction du mémoire) semblent insuffisantes ou insuffisamment connues. L’item « les usagers bénéficient d’un service personnalisé » obtient un niveau de satisfaction peu important de la part des usagers. Or, les usagers l’ayant utilisé manifestent pour leur part un fort niveau de satisfaction. Répondant aux besoins des étudiants, ce service semble donc encore trop peu connu.
Personnels face aux problèmes de service
La question « le personnel apporte des solutions fiables aux problèmes de services rencontrés par les usagers » couvre entre autre les pannes observées sur les services informatiques, d’impressions, de connexion wifi,… pour lesquels le personnel de la bibliothèque peut rarement apporter une solution immédiate et doit solliciter le plus souvent l’intervention, en différé, d’autres services de l’université ou de prestataires extérieurs ; ceci explique sans doute l’écart plus élevé observé sur cette question.
DES LOCAUX APPRECIES MAIS PERFECTIBLES
Les items suivants sur les locaux sont plutôt bien appréciés :
• L’équipement (« l’équipement est moderne et me permet d’accéder facilement à l’information »)
• Les locaux (« confortables et attrayants »)
L’équipement et les locaux révèlent des écarts moyens entre le niveau minimum et le niveau perçu respectivement de 1,04 et 0,93. Cependant, les locaux font aussi l’objet de nombreux commentaires négatifs.
• L’équipement (« l’équipement est moderne et me permet d’accéder facilement à l’information »)
• Les locaux (« confortables et attrayants »)
L’équipement et les locaux révèlent des écarts moyens entre le niveau minimum et le niveau perçu respectivement de 1,04 et 0,93. Cependant, les locaux font aussi l’objet de nombreux commentaires négatifs.
Les causes génériques d’insatisfaction renvoient en partie à des items évalués dans l’enquête (le calme, les ressources…). Ils permettent également d’identifier des points d’insatisfaction plus précis comme le WIFI ou la qualité des postes informatique. Ces causes d’insatisfaction font l’objet d’un travail attentif de collaboration avec les services concernés. Le WIFI a ainsi pu être rénové peu de temps après la tenue de l’enquête. La bibliothèque sera vigilante pour permettre l’amélioration des autres points.
DES RESSOURCES DOCUMENTAIRES DE MIEUX EN MIEUX IDENTIFIEES
• Les ressources électroniques (« la bibliothèque possède les ressources électroniques dont j’ai besoin »)
• Information 24h/24h (« L’information est facilement accessible et adaptée à une utilisation autonome »)
Les insatisfactions observées en 2009 et 2012 sur les ressources documentaires – documents imprimés, accès aux ressources, outils de repérage, revues - n’ont pas été constatées pour l’enquête de 2016. Toutefois, les deux points ci-dessus restent sensibles.
• Information 24h/24h (« L’information est facilement accessible et adaptée à une utilisation autonome »)
Les insatisfactions observées en 2009 et 2012 sur les ressources documentaires – documents imprimés, accès aux ressources, outils de repérage, revues - n’ont pas été constatées pour l’enquête de 2016. Toutefois, les deux points ci-dessus restent sensibles.
EN CONCLUSION
L’enquête 2016 a permis de montrer que la bibliothèque d’économie gestion était de mieux en mieux perçue. Les plans d’action 2009 et 2013 ont permis une très nette amélioration du service. Le plan d’action 2017 sera structuré de façon collective pour l’ensemble du service commun de la documentation autour de trois axes :
• Favoriser la cohabitation des espaces différenciés (calmes, espaces de travail en groupe)
• Mettre en œuvre une meilleure identification des ressources qu’elles soient en ligne ou papier
• Assurer un accueil favorisant le service personnalisé et prenant en compte les besoins de chacun (charte d’accueil, rendez-vous bibliographiques, services à la demande…)
• Favoriser la cohabitation des espaces différenciés (calmes, espaces de travail en groupe)
• Mettre en œuvre une meilleure identification des ressources qu’elles soient en ligne ou papier
• Assurer un accueil favorisant le service personnalisé et prenant en compte les besoins de chacun (charte d’accueil, rendez-vous bibliographiques, services à la demande…)
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